France – Ce weekend se tenaient à Cannes les Corporate Media & TV Awards, et le jury devait décider des meilleurs film, media et documentaire. Parmi les vainqueurs se trouve la compagnie Danfodd, qui a reçu un « Dauphin d’Argent » pour le film du réalisateur danois Christoffer Boe.
L’édition 2015 du festival a vu 772 films en compétition : l’événement cannois est considéré, comme sa contrepartie mieux connue du public, comme la compétition mondiale majeure en matière de films, vidéos ou documentaires institutionnels. Le jury est composé de réalisateurs, de producteurs, de scientifiques et de membres de l’industrie publicitaire.
« Nous sommes enchantés de recevoir le prix. Notre intention en réalisant ce film était de montrer les ficelles tirées lors de la grande histoire de Danfoss, qui s’écrit toujours, en montrant comment nos solutions et nos produits changent la société actuelle et aident à bâtir le futur. En même temps, nous voulions que le film se démarque des autres ‘vidéos explicatives’, et nous voulions qu’il puisse s’adresser aux gens à l’international. Le prix nous prouve que nous avons réussi, » a déclaré le directeur de la communication de Danfoss, Mette Refshauge.
Le film, d’une durée de dix minutes, présente un fermier américain, un ingénieur allemand, un volontaire chinois et un plombier russe. A travers ces histoires entrelacées, le film tente de montrer quelques uns des contextes mondiaux dans lesquels les produits Danfoss ont leur rôle à jouer. Le réalisateur Christoffer Boe a voulu présenter les produits Danfoss dans un film court, ce qui s’est révélé plus dur que prévu.
« L’idée était de mettre en contexte les nombreux produits Danfoss et de montrer leur implication dans l’innovation sous un jour agréable au public. Comment les produits Danfoss influent-ils sur le monde ? La tâche est d’autant plus ardue que Danfoss est une de ces nombreuses organisations qui travaillent dans l’ombre. Les produits rejoignent les maisons, courent sous la terre, se retrouvent dans les couloirs : bref, leur emplacement n’est connu que par un nombre limité de personnes. C’est ce que le film tente de transmettre, » explique M. Boe.